Que dire?Que faire?
Quand dire?
Qu'enfer!
Deux guerres? Ou pire?
Déguerpir.....
Mener un combat?
Contre qui,contre quoi?
Toi contre moi?
Moi contre toi?
Alors défend toi!
Contre qui, contre toi!
Contre moi, défend toii!
De ma vie, de mon ami, de mon aimé?
De la vie! je m'inderdit d'oublier!
D'oublier, d'oublier, d'oublier....
Les moments de paradis,
qui jalonnés nos vies.
Ces, toi contre moi,
Ces, moi contre toi.....
L'arbre croît dans les bois,
Ses branches il déploit.
Son feuillage suit la colométrie,
Ses saisons, des pluies.
Parfois il accueil en son sein,
La reine et son essaim.
Ces butineuses de fleurs,
Du pollen, en leurs coeurs.
Elles butinent avec amour,
Ces ouvrières du jour.
Portent en elles le nectar,
Q'elles défendent de leurs dards.
Parfois elles s'égarent,
Trouvent de nouveaux terrirtoires.
L'arbre croit en leurs desseins,
Ne voit l' exquisse d'un autre essaim.
Saule pleureur, esseulé,
La reine l'a quitté.
Elle est partie, pour une autre colonie.
Elle est partie, dans une autre prairie.
Cette douleur en son sein,
Le rendrait presque humain.
Il a la gueule de bois,
Mais, il touche du doigt
Que rien ne dure,
Même chez dame nature.
La reine s'est fait la belle,
A haussé son label.
Du miel à la gelée royale,
Du fiel à la déloyale.
Essaimer, qu'un jour?
Essaimer, pour toujours?
Essaimer, par amour.
Et s'aimer tout court.
Je voudrais bien commencer,
La partie, relancer.
je voudrais bien continuer.
Tes parties, engagées.
Mais quelle est ta règle du jeu?
Explique moi un peu!
Tout les coups sont permis,
J'avais bien compris, merci.
Ta règle du JE ma mise à "je","nous!"
Gémis mon coeur au clou...
Pour des clopinettes,
Sur un coup de roulette!
Sur une table de poker,
Je me suis faite, carré avec joker.
Je joue à ta règle du je,
La mise c'est nous deux.
Des tapis verts, au chemin de fer,
Des machines aux pinguoins, Vulgaires!
A nos jeux,
A corps perdus.
Anneaux, je?
Rien ne va plus...
Les mots, les paroles,
Petits cadeaux qui s'envolent.
Les mots écrits,
Petits présents déposés sur un lit.
Feuilles blanches et lisses,
Vierges offertes au sacrifice.
Pures, elles se donnent aux tatoueurs,
Qui les pénètrent de leur encre loveur.
La peur de la page blanche,
C'est que la main ne flanche.
Elle prend son pied à la lettre,
Ces préliminaires vont lui permettre,
De se faire caresser à la plume.
Direction la lune....
Des mots ,des paroles,
Petits cadeaux qui s'envolent,
Des mots écrits,
Petits présents dans sa lie.
Maîtraisse défeuillée, d'ivresse qu'on habille,
On la recouvre malhabile, à chacun son style!
Lorsque la magiese produit,
Que l'alchimie conduit,
Deux corps étrangers
A s'unir à se mélanger.
Lorqu'elle est imprégnée de ses mots de ses paroles,
Ses petits cadeaux dont elle raffole.
De ses mots écrits,
Ces petits présents déposés pour la vie.
La feuille est à la page,
Elle n'a plus peur de l'âge.
Elle sait qu'elle ne sera pas froissée,
Car elle porte en elle un secret.
Les fruits de la passion
La maternité de la fusion.
Bee, butine en toutes saisons
Be libertine, goutte à la fleuraison.
Elle caracole, dans son pistil,
Sa corolle en frétille.
Es-ce un hybride sexuel ?
L’ex, débride, la cruelle.
A titre, d’ils ou elles.
Attire d’ailes aux îles.
Deux lunes pour l’un,
Le deux en un !
Aux délices du lys
Aux délires d’Ulysse.
Etre ou ne pas naître.
Naître ou ne pas être.
Aujourd’hui il pleut !
J’aime ce temps dénué de bleu.
Comme si la pluie dénouée mes nœuds,
Estompée tout mes bleus.
La douce mélodie de la pluie
Les larmes de Dieu font du bruit.
Ses éclairs de génie,
Ses tonnerres rythme ma mélancolie.
Le flux de ces gouttes,
Reflux en mon cœur tous mes doutes.
Mon corps à nouveau baptisé, se dresse et se voûte.
Céleste ! Mon esprit raboteux, clique et reboot.
Si je sonde mon cœur et fait place nette,
Comme un songe, le soleil radieux, cette douce planète.
Je le sens heureux, calme et honnête.
Ami chaleureux, pauvre miroir aux alouettes.
Si je mire mon esprit, pour atteindre ma vérité,
Avec ce mirv pourrais-je obtenir la miscibilité ?
Toute ma vie ni pourrait suffire, car je ne suis qu’une miler.
Mirifique, la tête alarmée, esprit mirobolant, méningé…
Qui des deux diriges l’autre ?
Qui est Dieu? Qui est l’apôtre ?
Qui fustige? Qui l’emporte ?
Qui fait que nous soyons notre !
Esprit es-tu las, harcelé de mes questions !
Mon cœur meurt, tri, bat et abat l’illusion.
Qui de l’un, de l’autre ? Passe-passe le tour de prestidigitation.
L’esprit n’a pas le cœur à résoudre l’inéquation.
L’inconnu en mon cœur, perturbe mon esprit.
Faut il être dépourvu d’esprit, pour avoir en cette vie ?
Ou alors l’inverse, est-il vrai? On frôle l’ironie !
Je vous en pris, vous mon cœur, mon esprit, soyez bon amis.
Le grain roux de ton épiderme ;
Fin, doux cutané, lisse et ferme.
Nos peausseries, d’hier et d’aujourd’hui,
Que d’être à nouveau réunies.
Nos peaux ont gardées en mémoires,
Testament ou heureux hasard ?
D’hier, je regarde nos lendemains,
Ce présent, au passé si lointain.
Se recouvrer et sans réjouir,
Se retrouver se reconquérir.
Hors de vies, images hors du temps
Aujourd’hui se relis nos sacrements.
Test d’amants
Ancien ou nouveau…..
Je suis tombée en amour
D'une seconde à toujours
A un carrefour sans crier gare
Au rond point de ton regard
Je me suis jetée dans ton vide
Pour me remplir avide
Tu m'as envoyé en l'air mon amour
Tu m'as fait monter dans les tours
Qu'y a-t-il après le 7e ciel
Alice au pays des merveilles
Juste pour la monter d'adrénaline
De l'eau de rose à l'héroïne
Je suis tombée en amour
Acrobatique allé retour
Ce laisser tomber à chaque fois
Juste pour il était une fois
Le meilleur c'est la chute
Ne dit rien chutttttttttttttttttt
squaledef
MAYDAY
A toi ma mère, écoute ma prière.
C’est une caresse, c’est une promesse,
Sans jamais cesser, l’envoi de ce S.O.S.
Mayday, Mayday en détresse,
Mayday, Mayday sans adresse.
Je suis de ta poussière, je suis de ta lumière.
Tu as éclairé ma vie, grâce à toi, j’ai grandi
En moi est ton amour, depuis toujours
Et même ta voix, résonne en MOI.
Je te porte partout sur cette terre,
Notre amour n’a pas de frontière.
Je te véhicule sans peine,
Dans mes particules, dans mes VEINES.
Un message à la mer, revient atome.
Un message à ma mère ww.point.COM.
Au-delà de l’au de là je t’aime,
Au-delà de ma vie sans la TIENNE.
Tu m’as montrée le prix des lendemains,
Que la vie avait une fin.
Mayday, Mayday en détresse,
Mayday, Mayday sans adresse.
SqualeDEF.
Le temps passe inlassablement.
Poignées de secondes qui font le temps.
Qui s’égrainent en ce moment.
Comment faire du présent, un instant.
Le présent qui est dépassé,
Dans l’instantané.
Le temps dans sa course effrénée,
Du présent au passé.
Et pour l’instant,
Moi qui écrit au présent.
Vais-je tenir dans la durée ?
A l’infini pour l’éternité….
Dès à présent,
Introduire une mi-temps.
Dès maintenant,
Savoir prendre son temps.
Sans faire d’histoire,
Ni rêves illusoires.
Nous sommes à présent
Nous ne sommes qu’intermittents
A des années lumières.
Petits grains de poussière.
Qu’es ce que l’espace temps,
Le cosmos le néant.
Du trou noir,
A nos mémoires.
Ce présent, qu’est la vie,
Du spermatozoïde à aujourd’hui.
Mon espace temps ?
Déjà, 40 ans !
Je compte.14 600 journées,
Et de nuit, tout cumulé.
Du Quantième trois cent soixante trois.
Quel est mon tantième à moi ?
Pas des années lumières !
Ha, mon jour funéraire!
Quand tu seras présent,
Je ne serais que du passé.
Et ce jour là, tout compte fait,
Je ne ferais que passer.
squaleDEF.
Par pudeur, Je ne peux vous le dire.
Par pudeur, je vais vous l’écrire.
Oui, Je vous ai choisies pour famille !
Ma Nièce, mes cousines : vous les filles.
Ils se sont trouvés, ils étaient amis.
C’est eux qui nous ont réunis.
Qui ont fait notre enfance dorée.
D’amour et d’amitié.
A l’abri des dangers, nous avons poussé.
Ils ont semé la fierté, l’unité,
Dans nos vies dans nos veines.
Douce folie sans haine.
Puis sa mort nous a séparé
Sans elle ma vie à mener
Puis sa mort nous a réuni
Comment est il parti ?
Mais cette fois c’est dans la joie.
Sans vous je ne pouvais pas,
Fêter ces quarante années.
Votre présence m’a comblé.
Par pudeur, je ne peu vous le dire.
Par pudeur, je vais vous l’écrire.
Oui, je vous aime à la folie
Ma nièce, mes cousines mes amies.
Nous, nous sommes retrouvées,
Femmes, mères, toutes attablées.
Ce sentiment cette volupté,
Ces silence ce respect.
Heureuses d’être ensemble
C’est fou comme on ressemble !
Toujours ces fous rires,
Pour le meilleur comme pour le pire.
squaleDEF
Voila je vous le cri
Je sais mon physique est mon ennemi
Il attire tous c’est gars
Ces bancs de piranhas
Je réveille leurs convoitises
Fais fondre leurs banquises
Mais moi je cherche la lumière dans le noir
Voyage ma vie en quête d’un phare
Refrain : infidèle, NON !en croisade d’un cœur
Elle a droit elle aussi au bonheur
Car elle est fidèle quand elle aime
OUI L’infidèle est fidèle a elle-même
Celui qui me ramènera a bon port
Si sa boussole en perd le nord
Celui qui m’fera tourner la tête
Chavirer en pleine tempête
Je le suivrai comme mon étoile
Car mon cœur et loyal
Je suis fée, en effet de délices
Royal comme un lys
Refrain : infidèle, NON !en croisade d’un cœur
Elle a droit elle aussi au bonheur
Car elle est fidèle quand elle aime
OUI L’infidèle est fidèle a elle-même
J’ai glissé sous le vent
Croisé tant d’aimant
Amoureuse je l’ai été
De lui de sa voix lactée
Tu n’as pas été a la hauteur
Tu n’étais pas mon âme sœur
Tu as surfé ton vague a l’âme
Ce n’est pas le roi qui prend la dame ?
Refrain : infidèle, NON !en croisade d’un cœur
Elle a droit elle aussi au bonheur
Car elle est fidèle quand elle aime
OUI L’infidèle est fidèle a elle-même
Où est-il cet inconnu ?
Sur une île ?Au coin de la rue ?
Au croisement de son regard
Je m’y verrai comme dans un miroir
Ce sera mon coup de foudre
Il allumera la poudre
Me fera briller de mille feux
Comme une étoile au milieu des cieux
Refrain : infidèle, NON !en croisade d’un cœur
Elle a droit elle aussi au bonheur
Car elle est fidèle quand elle aime
OUI L’infidèle est fidèle a elle-même
Voila je vous le dis
Moi maintenant j’ai un fruit
Mon ptit gars mon ptit homme
L’homme de ma vie en somme
C’est mon bonheur absolu
Je l’aime à corps perdu
C’est mon bébé mon grand t’amour
Fidèle à jamais et pour toujours.
squaleDEF
Il y a des rêves qu'on fait comme un refrain,
Sans trêve on n' y peu rien
On n'aime a y replonger
Là bas ont si baigne éveillé
Refrain Fantasme de ma réalité,
Mes nuits illuminées,
Par ta quintessence
Tu éveilles, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens.
Je t'y vois tu te promène,
Heureuse et sereine.
Tu découvre de nouvelles voluptés,
Surprise, ton joli minois pourpré .
Refrain Fantasme de ma réalité,
Mes nuits illuminées,
Par ta quintessence
Tu élèves, tu élèves mes sens, tu élèves mes sens, tu élèves mes sens.
C'est ton corps qui m'attire,
Tout mon or pour ton empire.
L'odeur de ton cou réminiscence!
Dipétale la fleur m'encense.
Refrain Fantasme de ma réalité,
Mes nuits illuminées,
Par ta quintessence
Tu éveilles, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens.
Parcourir de mes mains,
Le galbe de tes reins.
Tes seins et confesse
M'y faire prêtresse.
Refrain Fantasme de ma réalité,
Mes nuits illuminées,
Par ta quintessence
Tu éveilles, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens, tu éveilles mes sens.
squaleDEF
